Mais d'où viendrait ce nom bizarre de
MASTARAPION ???
Selon certaines légendes, au coin du feu, les vieux sages racontent que...
"Il était une fois... une famille très sympathique qui se réunissait chaque année auprès de son sage et vénérable patriarche. Mais Malgré leur grande sagesse, ils n'ont pas encore trouvé de nom pour leur réunion annuelle d'automne. Que va-t-on faire ?? C'est alors qu'intervint le jeune (et fou) Michel... qui proposa d'utiliser un nom qu'il entendit au cours d'une émission humoristique à la radio. Et dans laquelle se passait la fête du Mastarapion... Les sages, quoiqu'un peu déçus que l'idée ne vint pas d'eux, admirent rapidement qu'il y avait là une idée à creuser, et présentèrent cette proposition à la Grande Assemblée suivante. Où elle fut acclamée par la majorité des participants (certaines légendes racontent même qu'il y eut là une unanimité des voix... Mais croirons-nous ces histoires déraisonnables ?) C'est depuis lors que chaque année, lorsque les vacances se terminent doucement, que le vent de l'Est se lève un peu, et que les cahiers et cartables sont ressortis de leurs armoires empoussiérées, les grands sages, ou leurs enfants, petits-enfants ou arrière petits-enfants, se réunissent gaiement pour célébrer la fête du Mastarapion."
Mais ce n'est bien sûr qu'une légende...
On a également retrouvé, sur la grande toile, une extrait de résumés de 212 épisode du "boudin sacré", diffusé entre octobre 1956 et juin 1957 sur Europe1; avec Pierre Dac, Francis Blanche, Maurice Biraud, Louis Blanche, Claude Nicot, Edith Fontaine, Pauline Carton, Raymond Devos, Jacques Dufilho,... On vous livre ici, en exclusivité, l'extrait qui cause des fêtes du Mastarapion:
"Pauline IV, Maharanée de Yadupour, a été
renversée par les Babus et vit en exil, aidée seulement par jeejeboy, son fidèle
boy hindou. Au coeur du Filekistan, elle retrouve Black, White et le tueur
napolitain, Asti Spumante. Le trio tente, pendant les fêtes du
Mastarapion, de mettre fin aux agissements
des Babus et surtout de leur chef, le mystérieux Grand Babus. L'aventure se
poursuit en 1855, pendant le siège de Sébastopol, Furax tente de sauver d'une
fin atroce celui qui, plusieurs années plus tard, deviendra son grand-père...
"Crimée... Châtiment!" murmure-t-il dans sa barbe, en ajoutant à l'oreille de la
femme de sa vie: "Et c'est pour cela que tu m'aimes, Malvina!"